N'ayant finalement pu se rendre à Tokyo pour présenter Rodin, Jacques Doillon a envoyé une lettre qui a été lue en introduction à la projection du film. En voici un extrait :
"Rodin a aimé le Japon. Il parle du Japon "merveilleux", de la vigueur et de la puissance avec lesquelles la nature y est comprise est exprimée. J'aimerais que mon film vous donne le désir d'aimer davantage l'œuvre de Rodin. A Shizuoka, vous pouvez admirer 32 de ses bronzes, et une cinquante de ses sculptures sont visibles au Musée National du Western Art. Enfin, vous verrez que le film se termine au Japon, à l'Open Air Museum d'Hakone, où nous avons voulu filmer notre Balzac".